The common sense of a warrior – Français – Ch 4 [ENTRAÎNEMENT]

J’ai ouvert les yeux. En même temps, mes pensées sont revenues à la réalité.

C’était l’heure de mon tour, alors je me suis levé et j’ai pris mon épée avec ma main.

Comme prévu, sur le terrain d’entraînement, un homme s’est effondré d’un côté et l’arbitre a crié le nom du vainqueur.

…Je pensais que puisqu’il n’y avait pas de public, il n’y avait pas beaucoup d’acclamations, mais le gagnant s’est levé triomphalement. Comme s’il changeait l’atmosphère du lieu, l’homme qui jouait le rôle d’arbitre a crié mon nom.

Et puis le nom de mon adversaire.

Je ne me suis pas précipité, mais pour éviter que mon adversaire n’attende, je suis allé sur le terrain d’entraînement.

Devant mes yeux, il y avait un homme grand. En plus d’avoir des muscles forgés par l’entraînement, ce qui donnait la sensation d’une présence écrasante, il était un grand homme qui avait une ou deux fois ma taille.

J’ai tiré mon épée d’entraînement, une épée avec un axe ennuyeux.

Bien que son adversaire était une jeune fille comme moi, mon adversaire ne montrait aucun signe de mépris pour moi et a tiré son épée de la même façon.

…En tant qu’adversaire, il ne manquait de rien. La voix de l’arbitre a annoncé le début de la bagarre, alors que nous étions tous les deux en position.

Clang clang clang clang clang. Le bruit des épées d’entraînement résonnait.

Les mouvements de l’adversaire étaient puissants, mais au contraire, on pourrait dire que sa maîtrise de l’épée dépendait uniquement du pouvoir.

J’ai regardé attentivement les mouvements de l’adversaire, et j’ai senti son souffle. Puis j’ai prédit ce qui allait se passer et j’ai fait face à la situation.

Comme je me souvenais des mots qu’il me disait toujours dans un coin de mon esprit, j’ai esquivé l’épée de mon adversaire et j’ai contre-attaqué.

Mon adversaire a reçu mon épée avec la sienne. Même si je continuais à entrer en collision avec lui, je perdrais le pouvoir, alors je me suis retiré immédiatement.

Puis je suis allé sur la poitrine de mon adversaire et je me suis enfui. Mon adversaire a lancé son épée vers moi pendant que je courais calmement.

J’ai égalé son temps et manié mon épée comme si j’allais recevoir la sienne. Pendant un moment, une expression de surprise lui traversa le visage, mais disparut bientôt, car il se servait de toutes ses forces pour manier son épée.

Sans un seul signe que c’était facile pour moi, c’était une épée rapide et lourde.

J’ai bloqué l’épée de mon adversaire et redirigé le coup.

– Uwah… !

Grâce à mon blocage, la posture de mon adversaire s’est effondrée. En m’approchant de sa poitrine, j’ai manié mon épée pour le frapper avec celle-ci.

Puis, j’ai placé l’épée sur le cou de mon adversaire qui s’est effondré alors qu’il se couchait face contre terre.

-C’est ça, c’est ça ! Le gagnant, Mel !

En plus des paroles de l’arbitre, elle m’a manié mon épée. Depuis la mort de ma mère, ça fait 7 ans.

Que cela se soit passé rapidement ou non, je ne sais pas. Mais chaque jour, je polis mon épée comme ça.

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